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Ray Kurzweil

En 2030 une capacité de calcul d'un dollar aura la même performance que celle du cerveau humain indiquait déjà le futurologue américain Ray Kurzweil, spécialiste en intelligence artificielle dans une interview au journal allemand Die Zeit (01/2002). En scannant le cerveau humain ou via d'autres méthodes de reproduction de ce modèle, nous développerons des progiciels qui illustreront par ordinateur toutes les facettes de ce cerveau, y compris la faculté de comprendre et de ressentir des relations et des émotions complexes. La technologie rendue de plus en plus intelligente voire même consciente entrera alors en compétition directe avec les hommes. Des progrès qui nous permettront même, sinon de devenir immortels, du moins de nous refabriquer avant la fin du XXIème siècle. voir le site singularity.com

Nanotechnologies

50 000 fois plus petit que l'épaisseur d’un cheveu

nano-tube plasma
Les scientifiques ne sont pas unanimes quant à la définition et de nanotechnologie ou de nanoscience, un domaine de recherche avec des applications en physique, chimie, biologie. Seule certitude, la nanoscience concerne l'étude des phénomènes observés dans des objets, des structures, des systèmes dont la taille est de quelques nanomètres dans au moins une des dimensions de l'espace. Richard Feynman (prix Nobel de physique en 1965) fût le premier à envisager la réalité de la nanotechnologie. En décembre 1959, dans un discours visionnaire prononcé lors de la conférence annuelle de l'American Physical Society, il demandait ce qui se passerait si nous pouvions déplacer des atomes, un à un, et les assembler de la façon voulue… il prédisait qu'il serait possible de faire tenir tout le contenu de l'encyclopédie Britannica sur une tête d'épingle... l’évolution technologique lui a donné raison.

RSF : rappel sur les zones d'ombre du Net

Les technologies informatiques ne concernent encore qu'une frange mineure de la population mondiale. Les estimations les plus fiables font état d'environ 15 pour cent d'individus ayant accès à ces outils de communication et d'apprentissage. Leur utilisation change la donne dans les pays émergents avec le développement des accès au réseau depuis des zones isolées de la planète.

Mais celà serait sans compter avec les freins politiques et culturels de tous types. Dans ses différentes campagnes pour la liberté d'opinion et de presse, Reporters Sans Frontières pointe régulièrement la fracture numérique qui toucherait encore une quinzaine de pays. Ou bien ces nations limitent l'accès à des catégories de décideurs, ou bien elles en contrôlent l'usage de façon si restrictive qu'il reste difficile de s'y exprimer. Surtout d'échanger des informations ou des idées avec l'étranger par le biais d'internet (cliquer sur la cartographie pour agrandir). Claude A.Frison

Chine 2010

Vers le milliard de mobiles

Equipementiers et opérateurs occidentaux lorgnent une Cité plus trop interdite où le
nombre d'internautes atteindrait déjà les 120 millions...

Selon Yaoping Jiang, vice-ministre chinois de l'Industrie et de l'Information qui s’exprimait dans le cadre d'une conférence Digiworld : « en 2010, l'industrie des nouvelles technologies devrait représenter 10% du PIB chinois, avec un objectif d'un milliard d'abonnés au mobile et plus de 200 millions de personnes connectées à Internet ». Pékin aurait même pour objectif de couvrir en accès Internet l'ensemble de son territoire d'ici 2010. Actuellement, le secteur des NTIC représenterait 7,2% du PIB, et si l’on en croit le sieur Jiang, le nombre d'abonnés mobiles y dépasserait déjà les 440 millions d’utilisateurs. (CAF d'après R&T/DigiWorld)


Yaoping Jiang
Vice-ministre chinois
de l'Industrie et de l'Informati
on

Développement durable

Lumière !

Group IV Semiconductor Inc. et TDDC (technologies du développement durable, Canada) annoncent avoir mis au point une ampoule électrique utilisant du courant au travers de silicium pour produire de la lumière. Etant donné que la presque totalité de l'énergie est convertie en lumière plutôt qu'en chaleur. Cette solution consomme un dixième de l'énergie utilisée par les ampoules électriques traditionnelles et dure un grand nombre d'années. Cette innovation pourrait mener à la conception d'une ampoule électrique qui consomme 90 pour cent moins d’énergie les ampoules incandescentes traditionnelles et qui a une durée de vie de 20 ans. La durée de vie de ce type d'ampoule pourrait atteindre 50 000 heures comparée à 1 000 heures pour une ampoule à incandescence et 5 000 heures pour les lampes fluorescentes compactes. Son utilisation serait possible avec les appareils d'éclairage actuels et la lumière blanche fournie serait d'une excellente qualité. L'ampoule ne serait pas chaude au toucher, ce qui la rendrait utile pour les vitrines d'exposition et les congélateurs, par exemple, où la chaleur peut représenter un problème. Enfin le coût de fabrication serait beaucoup plus bas que pour les autres solutions à semi-conducteurs en raison de l'utilisation de silicium. (CAF d'après ADIT numéro 306)

Changements climatiques

5,5 trilliards d’euros

Le monde doit investir
aujourd’hui 1% de son PIB par an pour lutter efficacement contre le réchauffement du climat, sinon les dégâts risquent de lui coûter 5 à 20% de son PIB par an, selon l’ancien économiste en chef de la Banque Mondiale Sir Nicholas Stern qui estime que les changements climatiques pourraient coûter jusqu’à 5.500 milliards d’euros si les gouvernements ne prennent pas dès maintenant des mesures radicales. Le rapport de Stern place la discussion sur le terrain politique. La tendance au réchauffement semble suffisamment établie par les travaux scientifiques pour que l’essentiel des discussions soient désormais portées au niveau politique. Il insiste sur la nécessité de fixer le plus tôt possible un calendrier pour la seconde période d’engagement du protocole de Kyoto, soit après 2012, ainsi que sur l’importance de l’implication des pays en développement comme la Chine ou l’Inde. Gros émetteurs de gaz à effet de serre (GES), ces pays ne sont pour l’instant pas inclus dans le protocole de Kyoto (CAF d'après Le Monde)

DEEE Déchets d’équipements électriques et électroniques

DEEE

C'est officiel et il faut le rappeler, depuis le 15 novembre 2006
, les 4 éco-organismes (ecologic, eco-systèmes, erp, récyclum) prennent en charge, pour le compte des producteurs qui y adhèrent, l’enlèvement et le traitement des déchets d’équipements électriques et électroniques collectés sélectivement. Les consommateurs peuvent remettre sans frais aux distributeurs un équipement usagé lors de l’achat d’un équipement neuf du même type. Des collectes sélectives se mettent progressivement en place dans les collectivités locales (points d’apport en déchèteries). L’objectif fixé par la directive est d’atteindre un taux de collecte de 4 kg par habitant et par an des DEEE ménagers. Les consommateurs sont informés lors de l’achat de nouveaux équipements du coût que représente pour les producteurs l’élimination des déchets issus d’équipements mis sur le marché avant le 13 août 2005. On estime que chaque Français produit chaque année 14 kg de déchets de ce type (réfrigérateur, machine à laver, téléviseurs, ordinateurs, grille pain, perceuse...) et la quantité totale produite augmente de 4% chaque année, soit un rythme de croissance beaucoup plus élevé que celui de l’ensemble des déchets ménagers. Pourtant, les modes d’élimination actuels ne sont pas toujours adaptés à ces déchets dont beaucoup contiennent des substances dangereuses. Le décret, qui transpose deux directives européennes, fixe le cadre de la mise en place de collectes sélectives et du traitement adapté des DEEE et pose le principe de responsabilité des producteurs… (caf)

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