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Facebook memory

A lire sur slate.fr un reportage palpitant Jennifer Golbeck
Traduit par Bérengère Viennot

Extrait : "Facebook Timeline Cleaner est l’option la plus nuancée. Il permet d’effacer des publications avant ou après un moment donné. Mais il n’a pas très bien marché pour moi. J’ai passé une semaine à essayer de le faire fonctionner sous Firefox et Chrome. Il s’exécutait pendant huit à dix heures, supprimait quelques trucs, et puis le navigateur plantait. Je l’ai ensuite essayé uniquement sur de très vieux posts, sans plus de succès. Je pense que c’est peut-être parce que mon activité était vraiment intense et que la puissance informatique nécessaire pour faire fonctionner le script dépassait les capacités de mon navigateur".


(ndlr. pas facile en effet de purger son compte sur FB)



http://www.slate.fr/life/81987/facebook-effacer-passe

Networking VS sécurité informatique

Comment distinguer l'usage pro du privé dans le cadre du Networking ?


Casse-tête pour les DRH : les réseaux sociaux, outils de travail collaboratif, se heurtent à l'arsenal de lois sur la protection des personnes sur leur lieu de travail. Un lieu dématérialisé avec usage d'informatique mobile. Alors comment distinguer l'usage pro du privé dans le cadre du Networking ? 

The worlds billionaires : cyber-fortunes

Slim en 1965
Forbes vient de publier son classement des plus grosses fortunes de la planète en 2012. Avec son patrimoine de 73 milliards de dollars, Carlos Slim Helú, magnat mexicain issu d'une famille d'immigrants libanais catholiques maronites, est toujours l'homme le plus riche du monde selon le magazine Forbes.

Le tycoon, même s'il n'est pas un "pure player", pourrait largement figurer dans le palmarès propre aux acteurs de l'informatique, tant les télécoms sont impactées par l'internet. Pour preuve, en 1990, soutenu par le président Carlos Salinas, il monte un consortium et rachète Telmex (première société de télécommunications du Mexique vendue par l'État) qu'il réussit à garder en situation de monopole.

Slim en 2012
Selon The New York Times (dont Slim devient le second actionnaire en 2008 et est par ailleurs actionnaire minoritaire d'Apple via BlackRock) l'opérateur de téléphonie fixe Telmex détient 90 % du marché mexicain. A noter aussi que Slim (littéralement "mince" en français) possède de même l'opérateur de téléphonie mobile Telcel (80 % du marché mexicain).

Les services web et les acteurs du high-tech se taillent la part du lion dans le classement du magazine Forbes. Parmi eux, trois dirigeants de Google et trois autres de Microsoft. En dollars nord-américains...

67,0 mds : Bill Gates (Microsoft)
43,0 mds : Larry Ellison (Oracle)
25,2 mds : Jeff Bezos (Amazon)
23,0 mds : Larry Page (Google)
22,8 mds : Sergei Brin (Google)
15,3 mds : Michael Dell (Dell)
15,2 mds : Steve Ballmer (Microsoft)

Gates & Allen en 1971













15,0 mds : Paul Allen, co-fondateur de Microsoft (Vulcan)
13,3 mds : Mark Zuckerberg (Facebook)
11,2 mds : Azim Premji (Wipro)
10,7 mds : Laurene Powell Jobs, épouse de Steve Jobs (Apple, Disney)
 8,9 mds : Hasso Plattner (SAP)
 8,7 mds : Pierre Omidyar (eBay)
 8,2 mds : Eric Schmidt (Google)
 7,7 mds : James Goodnight (SAS)

Gustave Courbet indésirable sur Facebook

Il y a peu de chances que Mark Zuckerberg (little brother né 1984) ait décidé lui-même de censurer Courbet (1819-1877). En revanche, la machine dont il est un des géniteurs est digne du Big Brother de 1984 (voir George Orwell). On espère qu'il n'instaurera pas de Ministère de la Vérité. Pour les geeks... la pyramide du monde selon BB (pas zuckerberg mais georg's brother)





presshightech: Charte « confiance en ligne »

Rappel : c'était en 2004, et c’est Nicolas Sarkozy alors ministre d'État, ministre de l'Intérieur et Philippe Bas, ministre délégué à la Famille, qui décidaient de confier à une commission collégiale la gestion d’un label « confiance en ligne ». Cette charte avait été présentée par Franck Louvrier, l'omniprésent conseiller pour la communication et la presse à l'Elysée.

Réseaux sociaux : pression des pouvoirs publics

Le décret est paru au Journal Officiel (n° 2011-219 du 25 février 2011). Il traite de "la conservation et la communication des données permettant d'identifier toute personne ayant contribué à la création d'un contenu mis en ligne". L'outil rentre dans le cadre de la LCEN (Loi pour la Confiance dans l'Economie Numérique). Il officialise l'obligation pour les hébergeurs de contenu (sites et services...) et FAI (fournisseurs d'accès Internet) de conserver bon nombre de données personnelles comme les mots de passe, pseudos, email, etc. D''abord concernés par cette loi, les fournisseurs d'accès à internet Free, Orange, SFR et Bouygues. En conséquence, les hébergeurs de contenus devront se plier au décret. Il englobe sites internet, blogs, forums, réseaux sociaux, services en ligne. Facebook, Viadeo, Linkedin, mais aussi Youtube, Dailymotion, Kewego... sans oublier les sites bancaires, les forums de discussions et les plateformes de blogs (wordpress, overblog, blogger, etc). Le décret en intégral.

Charte « confiance en ligne »

Face aux multiples dérives sur la Toile, le gouvernement tente d'imposer aux opérateurs de télécom et aux prestataires internet (fournisseurs d'accès et éditeurs de contenus), la signature, d'ici le 10 juin 2008, d'une charte dite sur la « confiance en ligne »...

Le document publié en exclusivité par le site PCInpact émane du ministère de l'Intérieur. A la lecture, il s'avère de fait lourd de conséquences pratiques pour les fournisseurs d'accès à l'Internet. Il s'inscrit dans le cheminement de la charte sur les "contenus odieux" de 2004 et les travaux du Forum des Droits de l'Internet afin de construire un internet "civilisé et sécurisé". C’est Nicolas Sarkozy alors ministre d'État, ministre de l'Intérieur et Philippe Bas, ministre délégué à la Famille, qui avaient décidé de confier à une commission collégiale la gestion d’un label « confiance en ligne ». Cette charte a été présentée par Franck Louvrier (photo Le Figaro), l'omniprésent conseiller pour la communication et la presse à la Présidence de la République. Pour ses lecteurs au fait des derniers développements relatifs à l'évolution des pratiques sur le Net, Presshightech reproduit ici le texte de cette charte dans son intégralité.


La charte Confiance en ligne traduit la volonté du gouvernement de faire de l'internet un environnement le plus sûr possible pour tous les citoyens. Elle s'appuie sur une démarche volontaire des prestataires à prendre part au projet de construire la "civilité et la sécurité de l'Internet". Dans le prolongement de la charte contre les produits odieux signée le 14 juin 2004, et les travaux au sein du Forum des droits sur internet, les signataires (fournisseurs d'accès, et opérateurs mobiles, fournisseurs de services en ligne et éditeurs) se conforment aux présents engagements sans que ceux-ci n'influent sur le statut juridique de chacun des acteurs de l'lnternet, au regard, notamment, de la loi pour la confiance dans l'économie numérique. Ces engagements s'inscrivent dans un cadre législatif et réglementaire existant en définissant les conditions de bonne application de ces textes par les acteurs de l'internet et les autorités publiques, en tenant compte des évolutions technologiques récentes. Les engagements présentés se conforment également aux récentes recommandations du Conseil de l'Europe adoptées lors de la conférence annuelle OCTOPUS 2008 en avril 2008.

Améliorer la sécurité de l'utilisateur

Mise en avant par les signataires sur leurs produits, home page et via des liens, d'informations et de contenus portant sur : les risques existants en matière de sécurité des données et des équipements (Virus, spywares, logiciels de connexion vers des numéros surtaxés, piratage de connexion, sécurisation Wifi...) ; les moyens techniques à la disposition des internautes pour s'en prémunir et la nécessité de les mettre à jour ; les conseils et bonnes pratiques existants afin d'éviter et de lutter contre le spam (ex. lien vers Signal Spam) ; une information sur les escroqueries et les risques émergents en modéré de délinquance économique sur internet (spam, phishing, captation du numéro de carte bancaire) ainsi que sur les outils permettant de lutter contre ces pratiques et les précautions à prendre en cas de saisie des informations bancaires.


Veiller à la sécurisation de l'équipement


Procéder à une démarche de veille active, sur les risques techniques émergents pour l'utilisateur ; mettre en place une démarche proactive de sécurisation des équipements par des mesures adaptées (ex : information, suspension, résiliation, blocage de certains ports...) auprès des clients mettant en jeu la sécurité du réseau. Préconfigurer les équipements fournis aux utilisateurs afin qu'ils atteignent un niveau de sécurité par défaut optimal selon l'état de l'art. Lutter contre le spam à travers une politique adaptée (filtrage, lien de signalement, application de quotas d'envoi...), en créant une adresse de type « abuse@ » et en participant activement au programme Signal Spam.


Apporter une information générale


Avec la mise en avant par les signataires sur leurs produits, home page et via des liens, de contenus portant sur : les risques d'exposition à des contenus préjudiciables et la procédure de signalement en mettant à dispositiorn les liens d'accès à l'ensemble des plates-formes de signalement existantes ; les enjeux liés à la sauvegarde des données personnelles ; les moyens techniques à la disposition des internautes pour s'en prémunir ; un descriptif des logiciels de contrôle parental et de leurs évaluations (logiciels FAI et en vente dans le commerce) ainsi qu'une aide à leur installation et configuration ; des conseils de vigilance (ex : guide).


Encadrer l'usage des services à travers une charte de l'utilisateur


Avec l'élaboration et la mise en avant par le signataire d'une charte de l'utilisateur reprenant : les règles de droit que tout auteur de contenu doit respecter ; les comportements et contenus autorisés ou interdits sur le service et rappelant les responsabilités en jeu, notamment pour les mineurs ; une sensibilisation et un encouragement à modérer les contenus pour les internautes créateurs de forums, blogs... ainsi qu'une information sur les moyens techniques adéquats. Avec obligation pour les internautes producteurs de contenus d'empêcher les mineurs d'accéder a tout contenu entrant dans le cadre de l'article 227-24 du Code pénal. La possibilité de prévoir contractuellement une modalité de suspension de la possibilité de publier, par des personnes autres que le créateur de l'espace, en l'absence de toute mise à jour, modification, intervention ou modération d'un contenu depuis trois mois; ainsi que l'existence de mesures de suspension ou de suppression de l'espace.

Engagements du signataire sur sa politique éditoriale...

Les espaces interactifs destinés aux mineurs sont contrôlés a priori. Les services et contenus manifestement destinés aux mineurs ne contiennent pas de publicités faisant la promotion de biens ou services inappropriés (ex. services de rencontres adultes, tabac, alcool) ou contraires à la recommandation « enfant » du BVP (bureau de vérification de la publicité). La publicité pour les contenus relatifs à l'article 227-24 du Code pénal ne sont diffusés que dans des zones « adultes » où l'accès des mineurs est fortement contrôlé par un dispositif efficace en fonction de
l'état de l'art. Les contenus entrant dans le cadre de l'article 227-24 du Code pénal ainsi que les liens hypertextes pointant vers de tels contenus ne sont diffusés que dans des zones « adultes n où l'accès des mineurs est fortement contrôlé par un dispositif efficace en fonction de l'état de l'art. Les espaces interactifs destinés aux adultes font l'objet d'un contrôle par un dispositif efficace en fonction de l'état de l'art.

Permettre un meilleur signalement de la part des internautes

Avec l'amélioration des procédures de signalement, mettre en avant une procédure de signalement claire, facilement accessible et compréhensible par l'internaute portant sur les contenus produits, diffusés ou hébergés par le signataire. Apporter une réponse rapide aux sollicitations reçues par ce biais et informer l'internaute sur l'existence du point de contact de l'AFA et la plateforme de signalement du Ministère de l'Intérieur. Se doter de procédures internes permettant de réagir correctement et en relation avec les autorités compétentes en cas de signalement de contenus ou de comportements illicites (avec objectif de labélisation...).

Participer à la politique de signalement...

Avec engagements du signataire sur sa politique de signalement : il signale aux autorités les contenus et comportements qui lui ont été notifiés susceptibles de relever des infractions visées aux cinquième et huitième alinéas de l'article 24 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse (1) et à l'article 22723 (2) du Code pénal. NDLR : (1) Apologie des crimes visés au premier alinéa, des crimes de guerre, des crimes contre l'humanité ou des crimes et délits de collaboration avec l'ennemi. Provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence à l'éqard d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée. (2) Représentation d'un mineur présentant un caractère pornographique.
Le signataire de la Charte signale également, dans les mêmes conditions, les contenus et comportements faisant apparaître un risque immédiat pour la sécurité des personnes et des biens. Dans ce dernier cas, et lorsqu'il dispose des données pouvant contribuer à l'identification de l'auteur du contenu concerné, le prestataire accompagne le signalement de ces informations afin de pouvoir empêcher l'atteinte à l'intégrité physique de la personne qui lui a été signalée.

Le signataire s'engage à déférer dans les meilleurs délais aux réquisitions judiciaires...

Il s'efforce de permettre l'identification du titulaire d'une adresse de courrier électronique après réception d'une réquisition et de celui d'une adresse IP auprès du fournisseur d'accès à l'internet suivant la réception du document. Il s'efforce, pour les réquisitions et demandes officielles non standard, à apporter une première réponse (accusé de réception, indication du délai estimé de réponse à la demande, etc). Il s'engage à mettre en place un « service d'obligations légales » performant ou, en cas d'impossibilité, à désigner une personne responsable du traitement des réponses aux réquisitions judiciaires et capable, en cas d'urgence, d'initier le traitement de ces réponses. Ces données sont régulièrement mises à jour et communiquées aux "guichets uniques" mis en place par les services de police et de gendarmerie en liaison avec la délégation des interceptions judiciaires. Ces autorités s'engagent à assurer une mise à jour des coordonnées de ces "guichets uniques".

Mieux participer au travail des autorités publiques en conservant et en transmettant certaines données...

Le signataire met en place, en application des dispositions législatives et réglementaires, une procédure de conservation et de transmission des données : ainsi il conserve toutes les données de connexion lorsque celles-ci sont nécessaires pour les besoins de la recherche, de la constatation et de la poursuite des infractions pénales. Il détient et conserve les données de nature à permettre l'identification de quiconque a contribué à la création du contenu ou de l'un des contenus des services dont il est prestataire. Ces données sont conservées un an. Dans le cadre de la communication des données de connexion, le prestataire communique tous les éléments d'identification en sa possession, conformément à la loi, permettant aux autorités de déterminer l'identité de l'internaute.

Mettre en place une démarche efficiente de retrait et de suspension ou de blocage de certains contenus...

Le signataire met en place une procédure de retrait et de suspension adéquate : ainsi il s'engage à retirer ou à suspendre promptement les contenus sur réquisition des autorités ou sur demande judiciaire. Lorsqu'il procède au retrait d'un contenu et le signale aux autorités, le signataire procède à la transmission d'une copie intégrale des données retirées et la conserve dans le format d'origine. Le signataire s'engage à restituer ou à rétablir les données dans le format dans lesquelles elles s'affichaient avant retrait ou suspension. Dans le cas des sites à caractères pédopornographiques, qui lui sont signalés par le ministère de l'Intérieur, les FAI s'engagent à bloquer l'accès à ces sites par les moyens techniques qu'ils estiment les plus appropriés.

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