blog search

Showing posts with label Sécurité informatique. Show all posts
Showing posts with label Sécurité informatique. Show all posts

ALGORITHM - Computer hacker breaks into secret government contractor

Published on Dec 7, 2014 A freelance computer hacker breaks into secret government contractor and downloads a program. He must choose between his own curiosity and the lives of his friends. Movie project (#JonSchiefer)

Biométrie : les contraintes du tout sécuritaire

Il y a bel et bien une réticence à l’utilisation de ces systèmes de contrôles biométriques. Pour les analystes, à l'instar de DSI, sur le volet sécurité, la réalité du marché biométrique serait très éloignée de l’image que l’on pourrait s’en faire et des fantasmes véhiculés par ce que certains auteurs appellent la « frénésie sécuritaire » (allusion à un ouvrage de Laurent Mucchielli (*). 

Networking VS sécurité informatique

Comment distinguer l'usage pro du privé dans le cadre du Networking ?


Casse-tête pour les DRH : les réseaux sociaux, outils de travail collaboratif, se heurtent à l'arsenal de lois sur la protection des personnes sur leur lieu de travail. Un lieu dématérialisé avec usage d'informatique mobile. Alors comment distinguer l'usage pro du privé dans le cadre du Networking ? 

Phishing

On appelle cela le filoutage ou au Québec le "hameçonnage". Les opérations de phishing se multiplient. Et ce malgré les alertes émises par les administrateurs gérant les transactions de leurs clients. 

Des internautes même avertis se laissent encore prendre au piège. Les banques ne sont pas les seules concernées par ce phénomène. Dans tous les secteurs, les pays à fort taux de connexions sont touchés par les agissements de circuits mafieux

Hoax oups avec hoaxkiller

On ne compte plus les messages non sourcés qui circulent sur le Net. Certains sont des hoax tranférés et retransférés par des collègues de travail, clients, amis, amis d'amis. La plupart de ces hoax présentent les caractéristiques de messages bien construits, argumentés, dont la crédibilité ne semble faire aucun doute...

Réseaux sociaux : pression des pouvoirs publics

Le décret est paru au Journal Officiel (n° 2011-219 du 25 février 2011). Il traite de "la conservation et la communication des données permettant d'identifier toute personne ayant contribué à la création d'un contenu mis en ligne". L'outil rentre dans le cadre de la LCEN (Loi pour la Confiance dans l'Economie Numérique). Il officialise l'obligation pour les hébergeurs de contenu (sites et services...) et FAI (fournisseurs d'accès Internet) de conserver bon nombre de données personnelles comme les mots de passe, pseudos, email, etc. D''abord concernés par cette loi, les fournisseurs d'accès à internet Free, Orange, SFR et Bouygues. En conséquence, les hébergeurs de contenus devront se plier au décret. Il englobe sites internet, blogs, forums, réseaux sociaux, services en ligne. Facebook, Viadeo, Linkedin, mais aussi Youtube, Dailymotion, Kewego... sans oublier les sites bancaires, les forums de discussions et les plateformes de blogs (wordpress, overblog, blogger, etc). Le décret en intégral.

Antivirus : payer plus pour protéger moins...

Angoissé qu’il est par la crainte d’une contamination potentielle, l’utilisateur lambda télécharge volontiers des programmes anti-viraux additionnels, même si leur installation constitue une surcouche parasitaire sur une protection déjà existante...

Pour preuve les récentes déclarations de Neil MacDonald, Vice-président du Gartner Group, lors de la conférence IT Security Summit organisée à Londres. « Pourquoi payer davantage chaque année pour des antivirus qui en donnent moins ?". Soulignant de fait que dans le domaine de la sécurité, les logiciels perdent souvent de leur efficacité alors qu'apparaissent de nouvelles menaces. Cet analyste estimant que les logiciels (d'un prix assez élevé) sont trop souvent destinés à effectuer une tâche unique, comme empêcher les intrusions ou protéger un point d'accès. Du coup, cela conduit les utilisateurs à multiplier des outils dédiés à telle ou telle tâche. Selon Neil MacDonald, les logiciels devraient plutôt apporter une réponse globale, chaque module coopérant avec les autres, comme un véritable système immunitaire. "Les éditeurs proposent trop de produits ponctuels, induisant trop de complexité", conclue-t'il.

Utile de rappeler l'anecdote que nous relevions voici quelques mois à l'écoute d'une émission sur France Inter, où un auditeur agacé donnait la réplique à un représentant de Symantec venu défendre Norton Internet Security (suite à de mauvaises notes obtenues par cet outil dans divers comparatifs. Et de pointer les difficultés rencontrées avec ce kit qui bloquait son système de façon intempestive (impossible à désinstaller puis réinstaller correctement, vous connaissez...). L'auditeur donnant l’exemple d’un proche, informaticien de surcroît, qui n’utilisait plus aucun outil anti-viral depuis deux ans, sans problème apparent...

Déjà pointé dans les colonnes de Presshightech et ce sujet devient un marronnier, les éditeurs de logiciels méritant quelques (virtuelles) châtaignes... de fait, l'utilisateur doit savoir que le pare-feu intégré au système d'exploitation des PC est suffisant pour protéger l'internaute lambda. Une surcouche de protection risquant d'annihiler tout bonnement le fonctionnement du tout. Il vaut donc mieux fermer les pop-ups ou autres publicités qui enjoignent de télécharger un module pour mieux protéger votre chère bécane... car c'est souvent là que commencent... les problèmes :-)

Claude A.Frison (source Gartner Group, IDG News Services).

Malwares malveillants

L'industrie des malwares se développe de façon exponentielle. Elle empoisonne le développement du web. La vente de codes "malveillants" devient un commerce à l'instar de simples kits anti-virus...

Pour la seule année 2007, de nombreuses pages de sites web auraient été modifiées grâce à quelques simples lignes de codes redirigeant les visiteurs vers des sites pirates (ndr : voir les articles de presshightech.com sur le phénomène du "phishing"). Un code de redirection ou d' « iFrame » se présentant sous la forme d'un cadre d'un pixel contenant une double programmation vers le site du pirate. Le premier étant un "piégeur" d'infiltration de pages Web. Le second étant un « downloader » permettant d'implanter un programme que le pirate souhaite utiliser (porte "dérobée", keylogger, robot, etc). Autre "moyen", les "bots" qui sont des malwares permettant la prise de contrôle à distance de machines vulnérables afin de former un réseau d'attaque caché (ndr : "botnet" typiques des attaques de phishers). Le tout permettant de "spammer" ou bien de faire des attaques en "déni de service distribué".

Selon François Paget (photo), chercheur en sécurité chez Mc Afee, ces outils d'attaque seraient en vente sur le Net sous la forme de petites annonces sur des forums spécialisés. De quelques centaines d'euros aux plus performants à 3000 dollars, ainsi MPack et WebAttacker (inet-lux.com), IcePack, d'origine russe... Limbo, MPack (DreamCoders Team), Nuclear Grabber (Corpse), Pinch (Coban), Power Grabber (privat.inattack.ru), etc.

Derrière ces outils d'attaque, les "têtes pensantes" seraient concentrées aux Etats-Unis, dans les pays de l'Est et en Chine. Avec dans chacun de ces pays, des groupes très hiérarchisés qui vendent à la fois l'outil et le service, et en cas de réaction, retournent la responsabilité de l'acte sur l'acheteur... un commerce comme un autre. Certains groupes sont maintenant connus : Cult of the Dead Cow, Russian Business Network (casinos virtuels et de la pédo-pornographie), Network Crack Program Hacker (connu pour avoir conçu le rootkit GinWui avec des membres spécialisés dans la suite Microsoft Office dont ils diffusent les vulnérabilités), Honker Union of China (avec 20 000 hackers estimés, connu pour ses attaques régulières de sites gouvernementaux et industriels aux Etats Unis, en Australie et en Nouvelle Zélande).

Lors du 2ème forum international de la cybercriminalité qui s'est tenu à Lille le 20 mars dernier, des participants ont parlé de 100 à 150 millions de machines infectées au niveau mondial, dont 60 000 PC infectés chaque jour en France...

Claude A.Frison (sources : Mc Afee / ITNews / Réseaux et Télécoms)

Cryptage des données numériques

Les processeurs mis en cause

De quoi inquiéter les centraux bancaires et les officines d’e-commerce, des articles publiés dans la presse spécialisée suscitent quelques interrogations sur la fiabilité des processeurs de nos chères (...) bécanes...

Suite aux révélations de l’équipe conduite par le cryptologue allemand Jean-Pierre Seifert (ex-Intel, enseignant dans les universités d'Haïfa et d'Innsbruck), les fabricants de microprocesseurs seraient sur les dents. En cause, une technique d'espionnage au niveau du code machine qui reposerait sur un logiciel capable de récupérer la clé de cryptage SSL au cours même de la phase de calcul… les spécialistes apprécieront. Qu'il s'agisse de crypter, de signer ou de garantir l'intégrité de données numériques, d’après les expériences conduites par l’équipe de JPS, les processeurs de la quasi-totalité du parc informatique mondial seraient vulnérables et le commerce en ligne serait selon lui menacé, ainsi que tout ce qui permet la dématérialisation des échanges, fondée sur des applications faisant appel aux codes asymétriques (procédé utilisant une clé publique codant les données et une clé secrète pour les restituer). Il s’agirait même de la fin des algorithmes RSA et des clefs de chiffrement couramment utilisées (RSA, acronyme formé à partir des noms de ses créateurs : Rivest, Shamir et Adleman).
Pour de plus amples détails, nos lecteurs peuvent se reporter au research group ``Mathematical Computer Science'', de la Johann Wolfgang Goethe-University (docs en allemand).

Dans le détail cette menace qui porte le nom d’analyse de prédiction de branche (BPA), nécessitait jusqu’à maintenant de très nombreux essais pour déduire de façon statistique la clé de cryptage (ce qui la rendait de fait impraticable). Dans une étude encore assez confidentielle, JPS décrit la façon dont il a pu (selon lui en une seule tentative) récupérer la quasi-intégralité d'une clé de cryptage de 512 bits (NDR : rappelons que ce type de cryptage consiste en une suite d'autant de 0 ou de 1 permettant de « brouiller » les données transitant par le Net afin de les rendre illisibles ; elle est donc couramment utilisée pour les transactions cryptées ; sachant que la plus grande clé publique faisait 640 bits ; sa décomposition en 2005, avait nécessité pendant trois mois, l’utilisation de 80 microprocesseurs cadencés à 2,2 GHz). Cette découverte fait figure de bombe, puisqu’elle ne ferait appel qu’à une seule lecture de code ; sa force résidant dans le fait que le processus de prédiction, fondamental pour accélérer les performances du processeur, ne serait pas vraiment protégé. Selon lui, le mode de fonctionnement même de la puce, optimisé pour accélérer les calculs, la rendrait vulnérable. « La sécurité a été sacrifiée au bénéfice de la performance », estime le chercheur. Une « taupe » (logiciel) pourrait donc « écouter » la puce en toute discrétion, et renvoyer la clé par exemple à des hackers, voire à des services de renseignement ou à des concurrents potentiels. Sous couvert d'anonymat, des spécialistes de cryptographie confirment le sérieux de la menace sur les systèmes à clé publique : « La solution réelle serait de revoir la conception même de nos microprocesseurs… une solution de court terme serait de ne pas permettre que des applications sensibles tournent en parallèle avec des opérations standards sur un même ordinateur, ce qui est plus facile à dire qu'à faire dans un environnement de travail classique… il reste des remèdes partiels, mais ils impliquent de ralentir considérablement le fonctionnement des PC ».

La polémique avait même fait rage entre observateurs. Selon l’hebdomadaire Le Monde Informatique (LMI, publication d’International Data Group, éditeur de Computer World), le quotidien le Monde « faisait saigner la tomate » à propos d'une technique potentielle qui permet de récupérer les clés de cryptage au cœur des processeurs. Pour cet hebdomadaire spécialisé « il est hautement regrettable que la sécurité des systèmes d'information, qui concerne effectivement l'ensemble des citoyens des pays industrialisés, soit encore traitée sur un ton alarmiste et superficiel, entretenant une défiance diffuse et, plus grave encore, le fatalisme ambiant et l'apathie juridique qui en découle, le tout garantissant l'impunité des responsables des causes réelles et sérieuses des milliards d'euros ou de dollars volés chaque année, en particulier les banques et les détenteurs d'informations personnelles qui ne sont toujours pas tenus, en France, d'alerter les victimes potentielles à la suite d'une effraction de leur système d'information, et l’on ne s’y prendrait pas autrement si l'on voulait, sciemment, désinformer une population tout entière pour lui faire supporter les frais d'une dématérialisation des échanges conduite au seul profit des intermédiaires financiers ». Les résultats des travaux de Jean-Pierre Seifert avaient été publiés lors de la conférence RSA, début 2007. CaF

La méthode de l'épuisette

Trop méconnue des internautes

Ce type de cybercriminalité est maintenant classique. Le procédé est parfaitement connu des spécialistes, enquêteurs et experts en sécurité informatique. Mais il est bien difficile de lutter contre l’ampleur du problème, car le tableau est à entrées multiples.


Les conséquences du phishing n’inquiètent pas que les banques. Le phénomène touche les achats et les jeux en ligne, voire des guichets administratifs. La recette est simple. A l’instar des méthodes de recrutement utilisées en matière de trafic de stupéfiants, les escrocs utilisent des mules pour brouiller les pistes et ne pas indiquer leur propre identité bancaire. L'objectif est d’empêcher la police de remonter toute la filière. Pour les « mules », le travail demandé n'est pas bien compliqué. Il suffit de consulter plusieurs fois par jour sa messagerie électronique. Dès qu'un mail lui signale qu'un virement a été fait sur son compte, il effectue un transfert vers un compte de la société en question. En échange de ce service, selon le Club de la sécurité des systèmes d'information français (Clusif), il toucherait 5 à 10 % des sommes transférées. Malgré tout, les montants unitaires seraient assez faibles, à cause notamment des plafonds instaurés par les banques en matière d’opérations en ligne. Mais selon le Clusif, ce business rapporterait quand même jusqu'à 3 K€ par mois à certains internautes.

L’arnaque repose donc essentiellement sur l’imprudence d’internautes pas toujours aguerris aux pratiques en vogue sur la toile ; on pense notamment aux retraités qui depuis quelques années boursicotent sur le Net pour arrondir leurs pensions, ou bien encore aux ados qui surfent le soir du fond de leur lit sur leurs sites favoris, et achètent en ligne (musique, VOD, vêtements à la mode, gadgets…) accrochés par tel ou tel pop-up les enjoignant de se rendre ici ou là pour vérif. Au bureau, dans le feu de leur journée passée devant la bécane, les internautes peuvent de plus en plus difficilement faire la différence entre le site qu’ils visitent régulièrement et une page d’accueil vers laquelle ils sont redirectionnés à leur insu, dans la plupart des cas par le biais d’un mail anodin. Qui donc peut affirmer examiner chaque mail à la loupe. Même s’ils sont des surfers avertis, une page d’accueil reconstituée quasi à l’identique par des mauvais farceurs (logos, copyright, popups publicitaires, nom du client en en-tête…) peut échapper à leur attention. Surtout en situation de stress au travail. Prudence donc, surtout lorsque l’on reçoit dans sa messagerie un formulaire en apparence tout à fait officiel.

On peut légitimement s’inquiéter de la montée en puissance des cyber-lobbies agissant sur la toile. Les mafias, russes ou autres, qui en tirent souvent les ficelles, notamment par le biais d’anodins messages provenant de pays africains et latino-américains. Des réseaux mafieux chinois aussi, particulièrement par le biais de sites destinés à des parieurs en ligne : bookmakers sportifs, paris sur des championnats de football en Europe, paris hippiques, casinos en ligne. Les plus naïfs se laissent attirer vers d’autres lieux, voire commencent à trop dévoiler leurs penchants, avouables ou non, auprès d’avatars communiquant sur des serveurs de messagerie instantanée intégrés aux sites.La piraterie par phishing ne concerne donc plus seulement le simple quidam consultant son compte en ligne. Ce type d’escroqueries concerne aussi les passionnés de divertissements en ligne. Notamment avec le développement de sites de réalité virtuelle en 3D (type second life) avec la banalisation de la communication par avatars interposés aux comportements réalistes. Rappelons que la source des problèmes ne vient pas des créateurs et animateurs de ces sites, mais des escrocs qui s’y introduisent. Claude A.Frison

Passwords harvesting fishing

Pêche aux mots de passe
Étymologiquement, le terme de « phishing » vient de l'expression anglaise « passwords harvesting fishing » (pêche aux mots de passe), utilisée à l’époque des premières attaques de ce type sur les serveurs d’America Online. En français, il est communément traduit par « hameçonnage ». La technique consiste à faire croire aux internautes qu'ils reçoivent un mail de la part d’un site de confiance qu’ils consultent fréquemment. Une page parfaitement imitée les enjoint à compléter une simple case d’identification par mot de passe, pour authentification. Une fois entré et validé, le tour est joué. A l’insu du particulier, en un éclair, l’attaquant peut se connecter sur la page du client et obtenir des renseignements personnels.

Plus grave est la situation quand le pirate, flanqué de ses cyber-acolytes parvient à installer sur le poste client un virus de type troyen (exemple haxdoor.ki). A noter qu’un simple cookie peut contenir ce type de programme. Il s’ajoutera à la base du registre au démarrage du système d’exploitation, se propageant là où il est sensé aller. Une manip d’autant plus facile que beaucoup d’internautes modifient les paramétrages de leurs pare-feux, voire désactivent les contrôles de cookies et de scripts à l’accès, ceci afin d’accélérer la rapidité de leur système, excédés qu’ils sont par les ralentissements que leur fait subir leur programme antiviral. Claude A.Frison

Formulaire de contact

Name

Email *

Message *