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Cyber-travailleurs : surf sous haute surveillance

L'usage d'internet en entreprise se heurte aux lois de protection des personnes sur leur lieu de travail. Un vrai casse-tête pour les DRH et les DSI.

Les services web utilisés pendant les heures travaillées posent des problèmes exponentiels aux DRH/DSI. Pour les salariés, qui sont aussi citoyens et consommateurs, l'emploi du Net est incontournable, avec toutes les répercussions que cela suppose dans leur façon de communiquer et de consommer de l’information de toute nature... de fait, dans l'industriel ou le tertiaire, une info périphérique au job peut s’avérer stratégique pour le salarié et ses collègues environnants : développements industriels, prévisions de restructurations, alertes boursières, blogs syndicaux... le champ est large.
Qu’en est-il d'autres connexions en ligne depuis le poste de travail : opérations bancaires à distance, achats courants et autres téléchargements de fichiers de musique et de VOD, sans omettre l'envie de dégoter le dernier gadget high-tech au moindre prix, d'entretenir des communications avec des tiers, de pratiquer des jeux en ligne "pour se détendre". Mais parfois aussi (à 
l’insu de la hiérarchie), visiter des sites licencieux, révisionnistes, terroristes... par simple curiosité souvent. En bref, il est devenu quasiment inévitable que des collaborateurs utilisent leur connexion internet de façon dite "inappropriée". Des faits très courants en pratique, qui soulèvent de nombreux problèmes, car informatique et sécurité ne font pas toujours bon ménage sur le "lieu de travail". Difficile aussi d’effacer toutes traces ici et là... le surf restant sous haute surveillance.

En matière de sécurité, contrairement à la protection du réseau contre les attaques extérieures, les contrôles effectués sur les "connexions utilisateurs" se limitent en général à de simples vérifications ponctuelles. Sauf instruction express de la DSI, rien n’empêche donc en principe d’installer un navigateur parallèle sur son ordinateur de bureau pour des usages privés. De type "open source", firefox ou thunderbird pour le courrier, assurant un meilleur contrôle des données de traçage.

Vie de bureau versus sécurité informatique

Du point de vue des dirigeants, outre que tout cela occupe de la bande passante, certains téléchargements peuvent déboucher sur des litiges en matière de droits d'auteurs, voire engager l’entreprise au niveau pénal. Sur le plan du droit, en vertu du code pénal, l'entreprise et ses dirigeants, en tant que représentants légaux, peuvent être poursuivis pour complicité ou recel (même si l'utilisation malveillante s'est faite à leur insu). Les sanctions encourues pouvant aller de l'amende lourde, jusqu'à des peines d'emprisonnement. D'où l'intérêt pour les entreprises de se prémunir contre les agissements de collaborateurs étourdis. La précaution consistant à filtrer les sites jugés illicites en s'appuyant sur des applications spécialisées. Ce qui est jugé « illicite » devant (en principe) être discuté entre l’entreprise et le CE.

Techniquement, les solutions existent pour contrôler les flux d’informations échangées par les salariés. Des serveurs d’interception de requêtes internes qui vérifient automatiquement la conformité des échanges avec la politique de sécurité maison. Dans le détail, le filtrage d'adresses (URL) se fait en utilisant des logiciels de sécurisation bien connus (de type websense, secure compu­ting, surfcontrol) ; aussi des contrôles de transferts des flux analysés (tcp, http, https, socks, dns, ftp). De même pour les protocoles de messagerie instantanée (windows messenger, aol, yahoo). Claude A.Frison

Au bout de combien de temps est-on vraiment en retard ?


Dossier paru dans Conversation France

Notre auteur, Américaine installée en France depuis 17 ans, est professeur de management et spécialiste des différences culturelles d’un pays à l’autre. Ses travaux, fondés sur des études d’anthropologues et de psychologues, montrent à quel point un Français, un Allemand et un Brésilien voient, derrière les mots « arriver en retard », des réalités bien différentes. Dans son livre « La carte des différences culturelles : 8 clés pour travailler à l’international » (Editions Diateino), elle explique comment décoder les étranges comportements des étrangers… et ne froisser personne

Gestion du temps, dates butoirs, pression du calendrier… nous courons tous après le temps. Cependant, là où telle culture dans le monde considérera qu’on est effroyablement en retard, une autre trouvera que l’on est raisonnablement à l’heure.
Ce matin, vous vous réveillez au son de votre iPhone qui vous rappelle au passage que vous avez rendez-vous avec un fournisseur à 9 heures 15 à l’autre bout de la ville. Mais la journée s’annonce mal… Votre petit dernier casse un pot de confiture dans lequel votre aîné a la bonne idée de marcher. Vous vous retrouvez à perdre encore plus de temps à tout nettoyer. Encore quelques minutes de perdues à chercher vos clés qui se cachaient dans le placard de la cuisine, mais, par chance, vous parvenez à déposer vos enfants à l’école au moment où la sonnerie retentit et où la porte se ferme. C’est alors que votre iPhone sonne 9 heures, ce qui signifie que vous aurez six ou sept minutes de retard pour cette importante réunion – si tant est qu’il n’y ait pas plus de circulation que d’habitude. Que faire dans ce cas ?
Vous avez bien sûr la possibilité d’appeler votre fournisseur pour vous excuser et lui expliquer que vous arriverez à 9 heures 21 précise. Ou 9 heures 22. Mais vous pouvez aussi vous dire qu’un retard de six ou sept minutes n’est pas fondamentalement un retard et décider de vous engager dans la circulation sans prendre la peine de prévenir. Sauf si vous ne vous préoccupez absolument pas de l’heure : que vous arriviez à 9 heures 21, 22 ou même 45, on considérera encore que vous êtes « dans les temps » et personne n’en fera une histoire, ni vous, ni votre fournisseur.

En France, 7 minutes de retard, c’est toujours être à l’heure

Si vous vivez au sein d’une culture qui a une conception rigoureuse de la gestion du temps, comme en Allemagne, en Scandinavie, aux États-Unis ou en Grande-Bretagne, il est probable que vous passiez un coup de fil. Dans le cas contraire, votre fournisseur risquerait de s’agacer à chaque seconde où vous n’apparaissez toujours pas. Inversement, si vous vivez en France ou dans le nord de l’Italie, il y a des chances que vous n’éprouviez pas le besoin de téléphoner, car arriver avec six ou sept minutes de retard, c’est encore être « fondamentalement à l’heure »(après 12 ou 15 minutes, l’histoire aurait été différente).
Et si vous appartenez à une culture qui a une conception souple du temps, comme c’est le cas au Moyen-Orient, en Afrique, en Inde ou en Amérique du Sud, le temps risque d’avoir pour vous une élasticité complètement différente. Dans ces sociétés où il faut se battre contre la circulation et le chaos général de l’existence qui ne cessent de vous mettre des bâtons dans les roues, la probabilité d’un retard est une donnée de base. Dans ce contexte, il n’y a guère de différence entre 9 heures 15 et 9 heures 45, et c’est accepté par tous.
Au tout début de mon installation en France (je suis américaine), j’avais été prévenue par des amis américains que les Français sont toujours en retard. Et cela s’est révélé partiellement exact, même si l’impact de ces retards sur mon travail a été assez faible au quotidien. À titre d’exemple, peu de temps après mon arrivée à Paris, j’avais pris rendez-vous avec un chasseur de têtes spécialisé dans les postes pour expatriés, dans l’une des tours de verre de La Défense. Ayant pris soin d’arriver avec cinq minutes d’avance à mon rendez-vous de 10 heures, j’essayais nerveusement de dérouiller mon français dans ma tête. La femme avec laquelle j’avais rendez-vous, Sandrine Guégan, était une cliente de longue date de mon entreprise et connaissait bien mon patron. Il m’avait assuré qu’elle me réserverait un accueil chaleureux.

Nice Work if you can get out (The Economist)

Pressreview : from The Economist

Overall working hours have fallen over the past century. But the rich have begun to work longer hours than the poor. In 1965 men with a college degree, who tend to be richer, had a bit more leisure time than men who had only completed high school. But by 2005 the college-educated had eight hours less of it a week than the high-school grads. Figures from the American Time Use Survey, released last year, show that Americans with a bachelor’s degree or above work two hours more each day than those without a high-school diploma.

http://www.economist.com/news/finance-and-economics/21600989-why-rich-now-have-less-leisure-poor-nice-work-if-you-can-get-out?fsrc=scn/fb/te/pe/ed/niceworkifyoucangetout

Ray Kurzweil

En 2030 une capacité de calcul d'un dollar aura la même performance que celle du cerveau humain indiquait déjà le futurologue américain Ray Kurzweil, spécialiste en intelligence artificielle dans une interview au journal allemand Die Zeit (01/2002). En scannant le cerveau humain ou via d'autres méthodes de reproduction de ce modèle, nous développerons des progiciels qui illustreront par ordinateur toutes les facettes de ce cerveau, y compris la faculté de comprendre et de ressentir des relations et des émotions complexes. La technologie rendue de plus en plus intelligente voire même consciente entrera alors en compétition directe avec les hommes. Des progrès qui nous permettront même, sinon de devenir immortels, du moins de nous refabriquer avant la fin du XXIème siècle. voir le site singularity.com

Hack : how to break into a laptop

How a Hacker Can Break Into Your Laptop With Just an iPhone http://www.vocativ.com/12-2013/hacker-can-break-laptop-just-iphone/

“Many computers emit a high-pitched noise during operation, due to vibration in some of their electronic components,” write Adi Shamir, Eran Tromer and Daniel Genkin in their report, RSA Key Extraction via 
Low-Bandwidth Acoustic Cryptanalysis. “These acoustic emanations are more than a nuisance: They can 
convey information about the software running on the computer, and in particular leak sensitive information 
about security-related computations.”

Biométrie : les contraintes du tout sécuritaire

Il y a bel et bien une réticence à l’utilisation de ces systèmes de contrôles biométriques. Pour les analystes, à l'instar de DSI, sur le volet sécurité, la réalité du marché biométrique serait très éloignée de l’image que l’on pourrait s’en faire et des fantasmes véhiculés par ce que certains auteurs appellent la « frénésie sécuritaire » (allusion à un ouvrage de Laurent Mucchielli (*). 

edito

Si l'on en juge par la vision de médias généralistes, perdure le fantasme de "l'entreprise où il f(er)ait bon vivre"; la vision silicon-vallesque, excusez le néologisme, de start-up animées par des geeks en jean baskets. Il en va des djeuns comme des "séniors" ici bas. Dans la réalité hexagonale, l'évolution se heurte à de multiples à-priori. La mentalité "gauloise" conservatrice (de ses prés carrés), est encore loin d'accepter que des gens hors "cadre" voire étrangers d'origine, puissent développer des projets sans tenir compte de modèles passés estampillés "Trente Glorieuses". Du moins en dehors de ceux concoctés par une "élite" gratinée dans le moule de "grandes écoles" où l'on acquiert parfois du savoir, mais aussi l'objectif inavoué de "préempter" la meilleure place dans l'appareil. Ce n'est pas par la diffusion de quelques reportages sur des témoins choisis que l'on pourra envisager un changement. Demandez donc à un jeune diplômé lambda, frais moulu d'une fac de province, même bien noté, quels moyens il pourrait bien trouver dans l'Hexagone pour tester ses idées. Qui va le soutenir sans attendre un ROI (return on investment) des plus rapides, surtout. caf

Allemagne : conditions de travail

E-mails, appels téléphoniques, heures supplémentaires, surcroît de travail - l'Institut fédéral allemand pour la sécurité et la santé a interrogé pas moins de 17 562 salariés. Résultat : 43% seraient convaincus que le stress a augmenté depuis deux ans. Principales causes invoquées : l'augmentation des rythmes de travail, l'exigence de résultats, la multiplication des tâches à réaliser simultanément, l'augmentation des sollicitations extérieures et des heures supplémentaires, sans omettre le travail emporté à la maison. 43% se plaignent de douleurs dorsales. En 2006, seuls 30% souffraient de maux de tête liés au stress; on en comptait 35% en 2012. Enfin, 20% avaient des troubles du sommeil; ils sont maintenant 27%. Lire la suite sur ObsRH

Guide to Greener Electronics


Le Guide to Greener Electronics initié par Greenpeace en 2006 vise à inciter le secteur de l'électronique et les constructeurs à assumer la responsabilité du cycle de vie complet de leurs produits. Une démarche verte qui concerne les e-déchets que leurs produits génèrent et l'énergie utilisée pour les fabriquer. Greenpeace évalue les progrès des leaders du marché électronique sur les plans de la réduction des émissions de gaz à effet de serre mettant en œuvre un plan d'électricité propre, le nettoyage de leurs produits par l'élimination des substances dangereuses, le recyclage des produits de manière responsable (une fois qu'ils deviennent obsolètes), et l'arrêt l'utilisation de matériaux non durables dans leurs produits et emballages.

Source ChinaFile (cliquer pour agrandir)


L'indicateur annuel de Greenpeace ne tient pas compte des normes du travail et de la responsabilité sociale de ces entreprises (de fait, il est délicat d'envisager une enquête de terrain sur ce sujet). Ainsi parmi elles, l'essentiel du peloton de tête de l'industrie hightech mondial, dont la firme de Cupertino (Apple) qui vient de concéder quelques erreurs de gestion des employés (parfois mineurs) chez son principal fournisseur chinois Foxconn. A noter que sur les 748 fournisseurs d’Apple dans le monde, 663 sont situés en Asie. En dehors de la Chine, comme d'autres acteurs majeurs du secteur, Apple fait appel à d'autres sous-traitants malaisiens ou philippins (carte interactive des fournisseurs d’Apple publiée par le Journal du Geek - source ChinaFile).

J'ai (très) mal au travail

Surcharge de travail, pression du temps, isolement, manque de marge de manoeuvre. Presshightech vous incite à revisionner cet excellent documentaire de témoignages de 2004 réalisé par Jean-Michel Carré (voir le papier complet sur l'excellent site Critikat.com), sur commande de l'INRS, produit par Les films grain de sable. 1h20mn de situations analysées par un ergonome, un psychanalyste et un psychosociologue qui proposent des pistes de solutions... extraits...


J'ai très mal au travail, de Jean Michel Carré

Pour Marc Loriol, sociologue, la notion de stress varie selon le métier. le stress et la souffrance au travail sont perçus différemment selon les époques et les métiers, du fait de représentations sociales qui conditionnent en partie leur prise en charge. Le sociologue observe qu'avant, pour évoquer l'exploitation des salariés, on parlait de "fatigue industrielle", de "psychopathologie du travail", de "charge mentale". L'individualisation du monde du travail a fait apparaître à la fin des années 1990 d'autres termes - "stress" ou "harcèlement moral" - comme moyens d'exprimer un mal-être qu'on ne lisait plus en termes de conflits collectifs. (propos recueillis par Nathalie Quéruel d'Alternatives Economiques dans Santé & Travail / avril 2010)

RPS stress

C'est l'arlésienne et la confusion. Stress au travail, jusqu'au burn-out parfois invoqué, voire le suicide. Tout se mélange. Le stress est un de ce que l'on qualifie de "risques psychosociaux" (RPS). Une des manifestations de ces risques. Qualifiés de "psychosociaux", ils sont à l’interface de l’individu (le psycho). Et de sa situation dans le cadre du poste de travail. De la fonction. Une des conséquences sans doute de l'évolution des conditions de travail dans une entreprise au fonctionnement de + en + virtualisé (Denis Ettighoffer en traitait abondamment début 80 au sujet du télétravail qui peine à se développer, si ce n'est par le biais du fumeux statut d'auto-entrepreneur). Avec des rapports au temps et à la hiérarchie transformés. Notamment par le PDA (ndr : personal digital assistant, smartphone) embarqué en toutes circonstances avec toutes ces applis + ou - nécessaires voire aliénantes : twitts, blogs, visios chronophages, etc. Alors, dans de telles conditions. Allons-nous craquer ? Où est la(le) boss ? D'après l'Observatoire de vie au travail (OVAT) dans une enquête menée dès 2009 auprès de 3 028 participants (2 810 questionnaires exploités), 57% des salariés évaluaient défavorablement le climat social dans leur entreprise, 55% jugaient insuffisante la qualité managériale, 64 % se déclaraient mécontents de la gouvernance sociale de leur entreprise. Ces estimations n'auront pas trop évolué dans le contexte actuel. Témoignages...


Enquête OVAT sur la perception des RPS par travail-solidarite

NDR : pour télécharger l'article "Stress et risques psychosociaux : concepts et prévention" (dossier médico-technique de l'INRS)

DRH : le casse-tête de l'internet

L'usage d'internet en entreprise se heurte aux lois de protection des personnes sur leur lieu de travail. Un vrai casse-tête pour les DRH et les DSI...


Les services web utilisés pendant les heures travaillées posent des problèmes exponentiels aux DRH/DSI. Pour les salariés, qui sont aussi citoyens et consommateurs, l'emploi du Net est incontournable, avec toutes les répercussions que cela suppose dans leur façon de communiquer et de consommer de l’information de toute nature... de fait, dans l'industriel ou le tertiaire, une info périphérique au job peut s’avérer stratégique pour le salarié et ses collègues environnants : développements industriels, prévisions de restructurations, alertes boursières, blogs syndicaux... le champ est large.


Homo-informaticus cherche qualité de vie


L’impact des technologies sur la qualité de vie révèle un bilan contrasté. L’informatique génère des nuisances, voire des menaces, sur lesquelles se penchent les scientifiques…

Le terme, au départ, correspond à la "satisfaction de besoins élémentaires quotidiens" : nourriture, accès à l’eau, qualité de l’air... Anthropologues, biostatisticiens, psychométriciens, épidémiologistes, médecins, sociologues, psychologues, statisticiens et autres scientifiques interviennent dans les études sur la qualité de la vie. L’informatique est au cœur de la modélisation du vivant et contribue à l’évidence à l’amélioration de notre qualité de vie. L’apport de l’informatique est essentiel dans l’étude de ces besoins vitaux et de ceux de la santé.

La simulation informatique s’impose peu à peu en biologie par exemple : la biologie intégrative simulant d’ors et déjà le fonctionnement d’organes vitaux, un peu comme l’on teste des maquettes sur ordinateur. Des logiciels modélisent le comportement de nos organes et les effets de médicaments sur des modèles virtuels (la modélisation du muscle cardiaque est la plus avancée). L’électronique contribue déjà à compenser des fonctions déficientes pour les handicapés (comme la vue, l'ouie, la parole). Bientôt sans doute, notre doublure informatique nous servira de cobaye et nous pourrons nous soigner sans même abandonner nos activités courantes.

Le concept s’est élargi maintenant à des notions de confort, de « bien-être », et de plaisir individuel, de nouvelles formes « d’écologie sociale » qui entrent dans le champs plus vaste de la réflexion en cours sur les relations entre l’homme et son milieu. Particulièrement du rapport « homme-machine » et de ses répercutions… (publié dans Le Monde Informatique)

E-learning : la seconde vie de Big Blue

De l'e-learning à l'échelle planétaire. Depuis que Big Blue s'est recentré sur les services, l'irruption de la firme de White Plains dans Second Life est somme toute logique. IBM voit grand et utilise déjà Second Life comme outil de formation pour un millier de ses salariés éparpillés sur la planète. IBM ne fait pas les choses à la légère en matière de BSD (business system development). La jeune équipe de Philip Rosedale du Linden Lab a d'emblée bénéficié de prestations à forte valeur ajoutée (offertes pour certaines en guise de bons procédés). Notamment un système avancé de traduction en temps réel et des outils de visio-conférence, indispensables pour mettre en relation les internautes du monde entier (IBM France est de l'aventure aussi). Les choses sont allées grand train depuis que The Register annonçait les plans "secrets" de la firme en 2006. Pour info, les bases de déploiement furent lancées sous la houlette du boss des développeurs Ian Hughes, pour la circonstance parachuté Metaverse Evangelist entouré d'une escouade de beta-testeur dans un modeste chalet situé en plein centre du Monde SL. Les ingénieurs maisons s'en sont donnés à coeur joie en matière de modélisation. Des expérimentations dont le Linden Lab devrait continuer à bénéficier pour tenter de maintenir sa croissance. Claude A.Frison

SIRH - système d'information en ressources humaines

Avec un objectif d’optimisation du « capital humain » au service des objectifs de l’entreprise, les données recensées sont consolidées par le biais d’un système d’information en ressources humaines (SIRH). Elles permettent par exemple de retracer et d’orienter la carrière ou le parcours de salariés ou de collaborateurs non intégrés (ex. certifications à des formations « flash », expertise acquise depuis le début de contrat de mission ou de l’embauche).

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